Amaury Alexandre : “Pourquoi la Wallonie devrait-elle se passer d’un parti qui a fait ses preuves à Bruxelles ?”
LE JEUDI 10 FÉVRIER 2022
Ce jeudi 10 février, notre député provincial namurois, Amaury Alexandre, faisait son bilan de mi-mandat, dans les pages de l’Avenir, comme seul élu DéFI à ce niveau de pouvoir en Wallonie.

-
Publié le 10.02.2022
-
min.
On construit nos fondations en Wallonie
Gembloutois de 40 ans, Amaury Alexandre est aussi licencié en informatique (ULB) et était précédemment indépendant dans le domaine. C’est chez DéFI qu’il a pris goût à la chose publique : « Oui, j’aimerais faire une carrière en politique, c’est une passion. Entrer à la Province, c’était marquer un essai, maintenant, on doit le transformer. On construit nos fondations en Wallonie, il faut bâtir une maison au-dessus. On a une approche très pragmatique des choses, pas dogmatique ou idéologique. On est un parti du centre, responsable et de bonne gouvernance. Pourquoi la Wallonie devrait-elle se passer d’un parti qui a fait ses preuves à Bruxelles, depuis des dizaines d’années ? »
Un travail discret, mais concret
Travailler au niveau provincial n’est pas le poste le plus visible aux yeux des citoyens et pourtant, ce niveau de pouvoir reste important pour la vie quotidienne de ceux-ci, notamment en matière de participation citoyenne : « On a créé des conseils consultatifs, ils vont tenir leurs premières réunions. La Province est un niveau de pouvoir intéressant pour prendre des décisions qui touchent les gens » explique Amaury Alexandre.
En tant que député provincial chargé de l’énergie, notre député a également participé au projet « bâtiments verts » de la Province en construisant une cité administrative à Salzinnes, économe en ressources, tandis qu’elle vendait des immeubles énergivores dans le centre de Namur.
A la une

Actualité
Fermeture de 22 gares de la SNCB : une logique de rentabilité au détriment du service public
La SNCB a décidé de fermer 22 gares, dont 18 situés en Wallonie. Cette annonce a suscité de vives réactions au sein des communes concernées, dénonçant ces suppressions arbitraires. François D
14.03.2025

Actualité
L’Ukraine n’est pas à vendre, l’Europe doit réagir face à la menace russe
La décision du président américain Donald Trump de suspendre l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine est une véritable trahison. Loin d’œuvrer pour la paix, il donne un signal clair :
05.03.2025