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La santé, une préoccupation majeure

La santé était déjà la première préoccupation des Belges avant la pandémie, et le covid-19 n’a fait qu’exacerber la tendance : oui, la santé est un sujet politique majeur.
La crise du covid a montré le pire et le meilleur. Le meilleur parce que notre système de soins, et surtout nos soignants ont tenu globalement le choc de cette épreuve terrible, et ont protégé la société. Le pire car les désorganisations, les divisions, les pénuries et le sous-financement mis en place par les gouvernements précédents ont montré toute la gravité d’une gestion qui fait de ce secteur essentiel une variable d’ajustement budgétaire.

Un seul ministre de la santé

Cette épidémie a aussi montré certaines limites du découpage institutionnel des compétences santé en Belgique, qui fait que la Belgique compte aujourd’hui neuf ministres de la santé ; cet éclatement a une conséquence directe non seulement sur la politique, mais aussi sur le financement de la prévention et de la promotion de la santé.
Un acquis est certain: le secteur doit être mieux respecté, mieux financé et, surtout, mieux concerté. La santé ne doit plus, à l’avenir, être le lieu de divisions partisanes et politiques. La santé, et plus globalement la sécurité d’existence, devraient constituer des socles pour l’ensemble du pays. A quoi cela rime-t-il de compter neuf ministres de la santé ? À quelle logique répond l’idée d’avoir séparé politiques de prévention et de soin ?

Selon les statistiques du SPF Sécurité Sociale de 2018 – hors pandémie, donc – , la part des dépenses consacrées à la prévention au regard des dépenses totales en santé en Belgique s’élevait à 1.7%. C’est fort peu, en regard des dépenses consacrées aux soins curatifs et de réadaptation dispensés dans les hôpitaux (29.5%), aux soins de longue durée (22.6%) ou encore aux médicaments et dispositifs médicaux en dehors des hôpitaux (16.5%).
DéFI considère que ces moyens sont largement insuffisants.

Pour DéFI, il importe de  continuer à se battre, aux côtés des prestataires de soins de santé, pour que leur parole soit entendue et pour que ce secteur, si cher à nos concitoyens, fasse enfin l’objet d’une politique unie et respectueuse. Il s’agit de protéger la santé des querelles de clocher afin de préserver la qualité des soins dont notre pays bénéficie, et qui doit profiter à tous.

Pour DéFI, les moyens financiers de lutte contre les assuétudes (alcool, tabac, consommation de sucre) , de dépistage des différents cancers, de vaccination , de prévention bucco-dentaire doivent atteindre à l’horizon 2030, un total de 3% des dépenses totales consacrées aux soins de santé.

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  • Santé

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Engagement

Faire évoluer le budget de la compétence de prévention à hauteur de 3% contre 1.7% actuellement au regard du total des dépenses “santé “

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