Avec DéFI
pour une Région bruxelloise
plus propre !

– LE 24 OCTOBRE 2023 –

Fabian Maingain, Marc Loewenstein et Deborah Lorenzino dénoncent le manque de résultat d’Écolo en matière de propreté et proposent des solutions pour une Région bruxelloise plus propre.

  • Publié le 24.10.2023

  • min.

Un espace public propre et agréable participe incontestablement à la qualité de vie et au bien-être de ses usagers, soucieux de vivre et d’évoluer dans un beau cadre de vie respecté et bien entretenu. C’est aussi le cas des bruxelloises et des bruxellois, attachés à leur ville et sensibles à la propreté de ses rues et de ses quartiers.

Pourtant, force est de constater que la propreté publique reste un véritable enjeu sur l’ensemble du territoire de la Région de Bruxelles-Capitale toujours en proie à de nombreux actes de salissures, lesquels font parfois naître un sentiment de malpropreté voire d’insécurité dans certaines zones plus problématiques et ce malgré le travail quotidien des différents opérateurs de propreté.

A l’heure où beaucoup de bruxelloises et bruxellois, à bout de patience, font entendre leur ras le bol et où Bruxelles, ville-région cosmopolite et siège des institutions européennes et de l’OTAN, se retrouve régulièrement sur le devant de la scène internationale, il est impératif de réagir et d’apporter rapidement des solutions concrètes aux problèmes structurels et conjoncturels majeurs que rencontre actuellement la Région en matière de propreté en vue de voir rapidement l’état de ses rues s’améliorer et de redorer son image à l’étranger.

Nous partons d’un constat largement partagé : Bruxelles est objectivement sale. La situation ne s’est pas améliorée en 4 ans. C’est l’un des grands ratés de cette législature en Région bruxelloise. Et ce, alors que les Verts avaient quasiment l’ensemble des leviers de pouvoirs en la matière. On aurait pu espérer une vraie coordination.

Fabian Maingain, président de DéFI Bruxelles

Le problème majeur réside dans la coexistence de multiples acteurs en matière de propreté. Dans cette logique, DéFI veut réduire au maximum le nombre d’intervenants et limiter les missions de service public de l’Agence Bruxelles-Propreté à la collecte, au tri et au recyclage des déchets ménagers. L’objectif : lui ôter toute responsabilité en matière de nettoyage des voiries.

Le système actuel est illisible pour les citoyens comme pour les professionnels de la propreté. Parce que Bruxelles-Propreté est incapable d’avoir une gestion spécifique, rue par rue. Ils sont trop éloignés du citoyen et des exigences de terrain. Nous voulons moins d’intervenants pour une gestion de terrain plus efficiente et uniforme.

Deborah Lorenzino, échevine de la propreté publique à Schaerbeek

La fin de la collecte porte-à-porte

Notre solution, c’est la fin progressive du système de collecte porte-à-porte et la mise en place de conteneurs intelligents enterrés. Ce système doit se généraliser.

Marc Loewenstein, député bruxellois

Avec ces 15 solutions prioritaires, DéFI s’engage à offrir un environnement plus propre et plus agréable à l’ensemble des bruxellois. Aujourd’hui, les coûts liés à la gestion de la propreté publique en région bruxelloise sont faramineux, tant au niveau régional que communal et pèsent actuellement très lourd sur la collectivité pour des résultats à tout le moins insatisfaisants. DéFI s’engage donc à optimiser ces coûts en offrant une politique plus efficace pour améliorer l’état de propreté des rues de la capitale.

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