DéFI réaffirme son attachement
à la langue française
– LE 20 MARS 2023 –
321 millions de francophones dans le monde, des millions en Wallonie, des milliers à Bruxelles et en Périphérie. De la promotion de la francophonie à travers le monde, à l’école ou encore de la défense des francophones à Bruxelles et en Périphérie, DéFI est présent.
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Publié le 20.03.2023
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L’édition de cette année a pour thème “321 millions de francophones, des milliards de contenus culturels”. Le but de cette thématique est de célébrer la créativité culturelle francophone et sa diversité, sans négliger son accès en ligne.
En effet, la diversité culturelle et linguistique francophone est aujourd’hui interpellée par la part de plus en plus importante que prend le numérique. De ce fait, il est primordial que les millions de francophones qui peuplent notre monde puissent trouver du contenu culturel en langue française sur internet.
Le français est une langue que l’on partage avec plus de 300 millions de personnes à travers le monde. Les cultures n’en restent pas moins différentes mais le français, aussi riche qu’il soit, nous rassemble.
Promotion de la francophonie à l’école
Le recul de l’usage du français dans la sphère publique pose question. Il faut en tirer des leçons et cela commence par le travail dans les écoles, notamment via la promotion de la langue française et de la francophonie au sens large.
Nos députés à la Fédération Wallonie-Bruxelles s’inscrivent dans ce débat, notamment par la promotion de la francophonie à l’école avec, par exemple, des ambassadeurs représentant toute la diversité culturelle francophone : musiciens, comédiens, artistes, etc. Faisons rayonner nos talents !
Défense des francophones à Bruxelles et en Périphérie
Bruxelles est une grande ville-région très majoritairement francophone au sein de laquelle le néerlandais, qui fait certes partie de l’identité bruxelloise, n’est parlé que par 10% des habitants de la Région et est protégé de manière significative en tant que langue administrative dans les institutions régionales et dans les communes.
L’exigence de bilinguisme de tous les agents au niveau local n’est plus adaptée à la réalité sociologique d’une Région qui compte seulement 10% de néerlandophones. Il s’agit d’assurer une juste et correcte représentation des agents francophones au sein des administrations régionales bruxelloises.
Il ne faut pas non plus sous-estimer l’importance trop grande que certains politiques donnent à l’anglais qui prend parfois le dessus sur le français ou le néerlandais. Ne transformons pas les contraintes du bilinguisme en l’effacement des deux langues officielles à Bruxelles. Surtout que cela représente et est le liant de la diversité culturelle bruxelloise.
En Flandre, il y a plus de 300.000 citoyens de langue maternelle française. Cette minorité francophone en Flandre n’est toujours pas reconnue comme telle alors qu’elle a été déterminée dans la résolution du 26 septembre 2002 du Conseil de l’Europe. Nous avons, il y a quelques temps, lancé une pétition à ce sujet pour la reconnaître.
Partager une langue, c’est partager une culture, c’est aller vers l’autre. La langue est aussi une revendication d’existence, d’identité. C’est le liant de notre société. Le langage est un rapport de soi-même à l’autre où l’autre n’est pas en mon pouvoir, mais est la reconnaissance de notre différence. La langue est la reconnaissance de ce qui nous différencie, mais aussi l’espoir de tout ce qui peut nous rassembler.
Le partage d’une langue comme le français est une chance et DéFI en est pleinement conscient et le revendique au travers de ses actions au quotidien en défense de la langue française, des francophones et de la francophonie.
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