Mieux financer le cursus
des étudiants en médecine
et des médecins en formation

… pour garantir enseignement supérieur plus juste et sans tabous !

Des apprentissages qui évoluent

Notre société et, à son image, l'école changent et évoluent. Les langues, à commencer par la langue d'apprentissage, le numérique et les nouvelles technologies jouent un rôle important dans tous les domaines du travail et de la vie et, à ce titre, font partie des connaissances de base indispensables.

Les difficultés liées aux études de médecine

En plus de la complexité et de la durée étendue des cursus (minimum 9 ans d'étude pour devenir médecin généraliste), les études de médecine recèlent de nombreux obstacles qui, au fil des années, ont renforcé la pénurie de médecins et la diminution du nombre d'inscriptions universitaires dans cette branche. Parmi ces obstacles, il y a l'octroi des numéros Inami, un sujet toujours sensible au parlement fédéral et en fédération Wallonie-Bruxelles.

Le Fédéral et la Fédération Wallonie-Bruxelles ont enfin trouvé un accord sur les quotas Inami fin avril 2022.

La nouvelle méthode de calcul des quotas Inami, plus en phase avec les besoins du terrain et des soignants, permet de garantir à chaque étudiant en médecine son numéro Inami en fin de parcours. 

Après la forte mobilisation des fédérations étudiantes, le nombre de numéros Inami va être attribué selon une nouvelle méthode de calcul, basée sur l’objectivation des besoins du terrain et sur l’activité réelle des soignants. Ainsi, on passerait en 2028, pour la Fédération Wallonie-Bruxelles, à 711 numéros Inami au lieu des 505 actuellement en vigueur, ce qui démontre bien  que jusqu’ici, les quotas n’étaient pas du tout adaptés aux réalités de terrain ! 

De surcroît, les actuels étudiants en médecine sont assurés d’obtenir un numéro Inami en fin de parcours, ce qui met fin à cette intolérable incertitude qui planait sur ces étudiants. 

Pour DéFI, ce n’est pas un cadeau mais un dû : un investissement attendu et nécessaire sur le long terme pour nos soins de santé. 

Cependant, DéFI estime que l’organisation d’un concours d’entrée, contrepartie de l’accord, pérennise l’inégalité des acquis scolaires des étudiants au sortir du secondaire.

Si le concours d’entrée a le mérite de donner la garantie aux étudiants en médecine qu’ils recevront leur numéro Inami, il n’en reste pas moins injuste car tous les élèves ne sortent pas avec les mêmes bagages de l’enseignement secondaire. 

Ce concours d’entrée n’a en outre pas démontré son efficacité en Flandre, là où il est d’application depuis 1997 (d’abord sous forme d’examen d’entrée, ensuite sous forme de concours).

Tags

  • Emploi et formation
  • Enseignement
  • Jeunesse
  • Santé

Concrètement

DéFI s’engage à…

Engagement

Dégager du financement pour améliorer le cursus des étudiants et notamment des médecins spécialistes en formation, tant pour leur assurer de meilleures conditions de travail que pour leur garantir un encadrement par un nombre suffisant de médecins.

Suivez-nous

Retrouvez sur les réseaux sociaux la vie du parti, le quotidien de nos représentants, les prises de position et les réalisations de DéFI !

  • Enseignement
  • Handicap
  • Logement
  • Santé

Accueillir et intégrer les personnes porteuses de handicap

… et rendre le contrat social plus juste !

  • Enseignement
  • Jeunesse

Lutter contre la précarisation du milieu étudiant

… pour garantir enseignement supérieur plus juste et sans tabous !

  • Enseignement
  • Jeunesse

Adapter les stratégies pédagogiques pour la réussite de chaque élève

… tout en garantissant un enseignement de qualité pour tous !