Revaloriser la profession infirmière
… pour faire de la santé publique une priorité fédérale !

La santé, une préoccupation majeure
La santé était déjà la première préoccupation des Belges avant la pandémie, et le covid-19 n’a fait que renforcer cette tendance : oui, la santé est un sujet politique majeur.
La crise sanitaire a également exacerbé les mauvaises conditions de travail du personnel soignant. Confronté à une surcharge de travail sans précédents, à des pressions psychologiques diverses et à un manque de valorisation constant, le personnel soignant n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Il ne suffit plus aujourd’hui de les entendre, il faut agir.
La crise sanitaire a également exacerbé les mauvaises conditions de travail du personnel soignant. Confronté à une surcharge de travail sans précédents, à des pressions psychologiques diverses et à un manque de valorisation constant, le personnel soignant n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Il ne suffit plus aujourd’hui de les entendre, il faut agir.

Préserver le personnel soignant
Ainsi, certains hôpitaux sont contraints de fermer des lits d’hospitalisations voire des services entiers d’urgence faute de personnel. Nous en sommes même arrivés à prendre des décisions drastiques telles que le report des soins dits “non-vitaux”.
Face à des conditions de travail désastreuses, les soignants continuent de quitter leur métier, ce qui ne manque pas d’accentuer la pénurie de soignant que nous connaissons. Les étudiants ne sont plus tentés par la profession, refusant d’entreprendre ces études ou les abandonnant en chemin. Les recrutements sont, en conséquence, de plus en plus difficiles.
Face à des conditions de travail désastreuses, les soignants continuent de quitter leur métier, ce qui ne manque pas d’accentuer la pénurie de soignant que nous connaissons. Les étudiants ne sont plus tentés par la profession, refusant d’entreprendre ces études ou les abandonnant en chemin. Les recrutements sont, en conséquence, de plus en plus difficiles.

Ce personnel que nous avons tant applaudi durant la crise sanitaire est à bout de souffle, ce que démontre par ailleurs une étude du KCE de mai 2022. Les conclusions de cette étude portant sur les infirmiers en soins intensifs sont sans appel: 20% de ces infirmiers sont aujourd’hui à la limite du burn-out ou envisagent de quitter leur emploi.
C’est une situation que DéFI refuse de voir se reproduire.
Nous devons préserver la santé du personnel soignant. Il en va de leur bien-être physique et mental mais également de la viabilité de notre système de soins de santé.
Concrètement
Pour revaloriser le personnel soignant et infirmier, DéFI s’engage à …