La question du survol de Bruxelles
ne se réglera pas au niveau régional
– LE 8 DÉCEMBRE 2022 –
Depuis des décennies, le survol de Bruxelles empoisonne la vie de nombreux habitants de notre région et de sa proche périphérie. Raison pour laquelle, DéFI estime que les lignes doivent et peuvent bouger. En ce sens, nos députés fédéraux ont déposé un texte complet en la matière au Parlement fédéral.

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Publié le 08.12.2022
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La Région bruxelloise ne dispose que de peu de leviers d’action dans ce dossier. Pour DéFI, la seule véritable arme contraignante, c’est l’arrêté relatif à la lutte contre le bruit généré par le trafic aérien, dit arrêté Gosuin, entré en vigueur le 1er janvier 2000.
Le survol est une question de santé publique mais aussi de justice. Il ne faut pas opposer les gens entre eux mais trouver des solutions équilibrées pour tout le monde. Malheureusement, le ressenti du terrain est qu’il n’y en a pas.
Pour Jonathan de Patoul, il est essentiel d’être cohérent. Par conséquent, le fédéral reste l’échelon le plus pertinent pour faire bouger ce dossier.
Malheureusement, au fil des années, quel que soit le ministre compétent en la matière, personne n’est parvenu à engranger une quelconque avancée un tant soit peu significative.
Cette semaine au Parlement bruxellois, une proposition de résolution des Engagés à ce sujet a été déposée. Ce texte, qui fait suite à de nombreux autres textes déposés dans ce même Parlement, contient des demandes assez succinctes qui n’apportent rien de substantiel comparé à ce qui figure déjà dans la déclaration de politique régionale.
Pour DéFI, il est maintenant temps d’agir au niveau de pouvoir le plus opportun. Nous invitons donc nos collègues bruxellois, ainsi que le gouvernement fédéral à enfin atterrir sur une proposition concrète avec des effets immédiats.
Depuis plus de 25 ans, DéFI s'investit dans le dossier du survol de Bruxelles
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