Assurer l’équilibre des pouvoirs
entre francophones et néerlandophones au sein de l’État fédéral
pour remettre la Belgique en état…fédéral
L'efficacité au service des citoyens
Evaluer avant de réformer
La mécanique de ce qui était appelé en son temps « l’État CVP », a amené nombre de responsables politiques francophones à considérer que l’émergence des entités fédérées les autoriserait à délaisser le niveau fédéral ou, à tout le moins, à ne plus formuler d’exigences de partage équitable des influences au sein des institutions fédérales. Cet abandon a conduit à ce que des pans entiers des services publics fédéraux soient davantage livrés à la volonté dominante de décideurs flamands, souvent relais des intérêts de la Flandre au sein des institutions fédérales.
Découvrez l'ensemble de nos engagements pour remettre la Belgique en état... fédéral dans la brochure ci-dessous.
DéFI a recensé ces déséquilibres linguistiques au détriment des francophones. Il serait pertinent que le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles mette en place une commission d’information, voire d’enquête, afin d’identifier de manière systématique les déséquilibres existants et de déterminer la manière d’y remédier.
Aussi longtemps que l’État fédéral assumera des missions pour l’ensemble des citoyens de la Belgique, il n’y a aucune raison que les francophones n’obtiennent pas leur juste part dans les influences et notamment dans les retombées économiques des différentes décisions prises par les institutions fédérales. Une attention particulière doit être réservée aux marchés publics conclus par l’État fédéral qui génèrent un chiffre d’affaires considérable pour un certain nombre d’entreprises (on pense, par exemple, à l’acquisition des F35 et aux conséquences quant aux partenariats qui en résulteraient pour les entreprises situées de part et d’autre de la frontière linguistique).
Concrètement
Pour assurer l’équilibre des pouvoirs entre francophones et néerlandophones au sein de l’État fédéral, DéFI s’engage à…