DéFI veut mettre fin à la détention d’enfants dans les centres fermés
– LE 28 SEPTEMBRE 2022 –
La place des enfants, quelle que soit leur situation familiale, migratoire ou de résidence, n’est pas en détention. C’est au nom de ce principe que les députés fédéraux DéFI, Sophie Rohonyi et François De Smet, ont déposé une proposition de loi interdisant purement et simplement toute possibilité de détenir des enfants mineurs, ainsi que leur famille, dans des centres fermés.
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Publié le 28.09.2022
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Si le gouvernement actuel s’est engagé à mettre fin à la pratique d’enfermement des mineurs dans les centres fermés, la base légale pour la réactivation de cette pratique existe toujours.
Cela veut dire que n’importe quel futur gouvernement pourrait dès lors, à sa guise, décider de réintroduire cette pratique. Ce n’est évidemment pas acceptable.
L’objectif de la proposition de loi déposée par DéFI est de consacrer explicitement dans la loi du 15 décembre 1980 l’interdiction de l’enfermement des enfants mineurs et de leur famille dans des centres fermés. Il va de soi, par ailleurs, que l’unité familiale doit être respectée au maximum.
Nous ne répéterons jamais assez que la place des enfants n’est pas en détention, quelle que soit leur situation familiale, leur statut migratoire ou de résidence.
La détention de mineurs pour des motifs migratoires ne sera jamais compatible avec l’intérêt supérieur de l’enfant, point cardinal de la Convention internationale des droits de l’enfant.
Rappelons que notre pays a d’ailleurs déjà été, à ce titre, condamné à trois reprises par la Cour européenne des droits de l’homme pour avoir placé en détention des mineurs en séjour irrégulier.
Sophie Rohonyi et François De Smet : “Aucun mineur ne doit plus jamais être enfermé pour des raisons migratoires, même dans des centres fermés dits adaptés. Un enfant reste avant tout un enfant. Et il doit rester libre”.
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