Développer une mobilité responsable et durable pour améliorer la qualité de vie

…tout en rencontrant nos objectifs climat !

Repenser la mobilité : une nécessité

La mobilité, comme l’énergie, est une des composantes des questions liées au dérèglement climatique. Le transport est à lui seul responsable de 20% des émissions de CO2. Faut-il pour autant interdire voitures et motos, pénaliser ceux qui prennent la route, et obliger tout le monde à rouler à vélo ? Pour DéFI, une solution aussi caricaturale est inimaginable. Comment demander à qui que ce soit de renoncer à sa voiture, si aucune alternative ne lui est proposée ?
Oui, nous sommes au point de rupture du modèle actuel.
Oui, il nous faut d’urgence repenser nos déplacements.

Une meilleure mobilité pour une meilleure qualité de vie

La mobilité doit influer sur la qualité de vie : l’aménagement de l’espace public ne doit pas être conçu en fonction de la seule fonctionnalité de faciliter les déplacements en voiture sur un territoire donné ; l’aménagement de l’espace public doit également contribuer à la qualité de vie des habitants et garantir un cadre de vie agréable, durable et attractif.

DéFI considère que pour les prises de décision concernant la mobilité, les remarques des riverains doivent être entendues. Et si ces remarques ne sont pas spécialement suivies, alors les pouvoirs publics doivent apporter des réponses aux interrogations des riverains. Et l’évaluation doit se faire également de manière objective et concertée. En se rappelant toujours que ce n’est pas un échec que d’admettre qu’on s’est trompé, et ce n’est pas retourner sa veste que de changer de décision si ce changement se fait pour de bonnes raisons.

Ainsi, DéFI refuse que le développement et l’attractivité des lignes de trams ou du bus se fassent au détriment de riverains qui n’ont pas à subir le bruit et les vibrations. L’impact de certaines décisions sur la santé des riverains (stress, manque de sommeil…) doit aussi faire l’objet d’une évaluation sérieuse.

Le choix d’une politique de mobilité conditionne l’attractivité d’une région. Dans cet esprit, DéFI n’est pas favorable à une gratuité généralisée dans les transports publics. La gratuité au niveau de la STIB a un certain coût : min. 213m°/an de perte des recettes, sans compter l’impact sur l’augmentation de l’offre.

DéFI préfère investir dans le confort, dans la sécurité, dans la fréquence, car c’est cela qu’attendent les usagers actuels et les usagers potentiels. 

La mobilité de demain est aussi liée à la technologie numérique : le secteur des transports vit aujourd’hui une évolution via le passage à une mobilité durable, partagée, connectée et autonome qui comprend l’intégration de l’offre de transport dans des applications et plateformes numériques, en ce compris via les véhicules autonomes partagés.

Le numérique, sans diminuer pour autant la réalité de la fracture numérique que ce soit en milieu rural ou urbain,  permet de rassembler l’offre de transport, tant en termes d’information que de réservation, que de tarifs pour faciliter la mobilité et la multimodalité, elle permet d’accroître la lisibilité et l’accessibilité des réseaux et des services de transport public, et renforcer l’interconnexion de différents services et l’intermodalité.

DéFI souhaite que la “Smart Mobility” devienne une réalité tangible pour chaque usager. Il faut faciliter la vie des citoyens connectés, qui utilisent leur smartphone comme un véritable outil de mobilité. Il faut créer les conditions pour que la Région bruxelloise soit une région connectée, dans laquelle choisir ses modes de déplacements, éviter les embouteillages, stationner, sortir en ville, améliorer la qualité de l’air… puisse se faire grâce depuis un smartphone. Dans cette optique, le concept de “MaaS” (Mobility as a Service) doit être approfondi et devenir une évidence pour chaque usager et chaque acteur public, régional et fédéral, de la mobilité en Belgique.

L’espace public doit intégrer le concept de multi-modalité en permettant de développer aux abords de lieux de passage stratégiques (station de métro, centres commerciaux, universités,…) des « points de mobilité » offrant aux utilisateurs l’accès à différents moyens de transports (transports publics, voitures (électriques) partagées et vélos/vélos cargos/trottinettes partagés), ainsi qu’à des bornes de recharge, à des systèmes de consignes pour les colis,… et dont l’ensemble des informations seraient accessibles en temps réel (sur place et à distance).

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Concrètement

Pour permettre une mobilité intelligente et durable, et un partage plus harmonieux de l’espace public entre tous les modes de déplacement, DéFI s’engage à…

Engagement

Mettre en place au niveau des deux Régions les outils d’évaluation des politiques publiques en matière de mobilité et d’impact sur les riverains.

Engagement

Généraliser le covoiturage et faciliter la prise de contact entre les parents conducteurs en vue de diminuer le nombre de voitures sur le chemin de l’école, de la crèche ou du club de sport.

Engagement

Inclure la participation citoyenne dans les choix de mobilité et dans l'évaluation des politiques de mobilité mises en oeuvre, notamment les plans de circulation.

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