Développer une
aviation responsable et durable

… afin de réussir le défi climatique !

Repenser la mobilité : une nécessité

La mobilité, comme l’énergie, est une des composantes des questions liées au dérèglement climatique. Le transport est à lui seul responsable de 20% des émissions de CO2. Faut-il pour autant interdire voitures et motos, pénaliser ceux qui prennent la route, et obliger tout le monde à rouler à vélo ? Pour DéFI, une solution aussi caricaturale est inimaginable. Comment demander à qui que ce soit de renoncer à sa voiture, si aucune alternative ne lui est proposée ?
Oui, nous sommes au point de rupture du modèle actuel.
Oui, il nous faut d’urgence repenser nos déplacements.

Vers une mobilité fluide, responsable et efficace

Dans un monde idéal, la mobilité serait fluide et décarbonée. Pour tous les utilisateurs, les mots d’ordre seraient liberté, efficacité et responsabilité. Mais nous sommes loin de cette mobilité rêvée. La crise climatique nous oblige enfin à repenser nos déplacements. Et si nous saisissions l’occasion pour tendre un peu plus vers cet idéal de mobilité fluide, efficace et responsable ?

Pour DéFI, toute politique de mobilité doit être construite autour des besoins des usagers, avec réalisme et responsabilité. Le pouvoir public doit, avant d’imposer ou interdire, mettre en place les alternatives nécessaires au changement.   

En matière de nuisances sonores, le survol aérien autour de  l’aéroport de Bruxelles National cause aux habitants des communes concernées de nombreux soucis. Il porte également atteinte de manière illégale et disproportionnée à nos droits fondamentaux, et principalement le droit à un environnement sain. La pollution de l’air due aux rejets des réacteurs et l’insécurité réelle causée par des avions en phase critique de décollage ou d’atterrissage constituent un risque de danger grave pour la sécurité des habitants. 

Depuis plus de 25 ans, DéFI s’investit totalement dans le dossier du survol aérien et  l’instauration d’une stratégie aéroportuaire nationale globale respectant les normes de bruit fixées par l’arrêté Gosuin, seule arme juridique permettant en Région bruxelloise et dans sa périphérie de faire respecter les droits des habitants. Cette nouvelle vision stratégique à long terme pour un développement durable et équilibré devra être négociée avec l’ensemble des aéroports belges. 

Pour DéFI, les routes aériennes doivent prendre en considération les nuisances sonores et environnementales, mais également la densité de la population survolée, au regard de  la législation de l’Union européenne et de la jurisprudence constante de la Cour européenne des droits de l’homme consacrant la protection de l’environnement et le droit à un environnement sain et de qualité.

DéFI porte dans ce dossier les résolutions suivantes : 

  • Considérer que l’aéroport de Bruxelles-National a prioritairement une vocation d’aéroport urbain dont les activités régulières sont diurnes ;
  • Confirmer de manière absolue le principe du non-survol des zones densément peuplées afin de respecter l’intérêt général, la santé publique et la sécurité des populations ;
  • Adapter les procédures et routes aériennes dans le but de réduire les nuisances et de minimiser le nombre de personnes impactées par celles-ci ;
  • Fixer la période dite « de nuit » à l’aéroport de Bruxelles-National de 22h00 à 7h00, et interdire les décollages et les atterrissages durant cette période ;
  • Proposer la réalisation d’une étude indépendante sur l’impact des particules ultrafines émises par le trafic aérien sur l’ensemble des citoyens survolés ;
  • Développer une stratégie aéroportuaire nationale en vue d’une meilleure répartition, vers les aéroports régionaux, des activités de fret et de charter / low cost ;
  • Instaurer, concomitamment au respect des normes ci-avant exposées, une autorité publique, indépendante et neutre, de contrôle des nuisances sonores aériennes autour de Bruxelles-National, et favoriser les accords de coopération avec les différentes régions du pays ;
  • Exiger que soit strictement sanctionné tout non-respect des routes aériennes ;
  • Étudier, en collaboration avec les autorités régionales compétentes et les associations représentatives concernées, la mise en place d’un plan d’insonorisation global des zones survolées ;
  • Interdire les avions les plus bruyants par une adaptation progressive des limites de bruit réglementaires. 

De la même manière, DéFI entend que la lutte contre les nuisances aériennes rencontrées par les riverains des aéroports de Charleroi et de Bierset soit poursuivie. 

Tags

  • Environnement
  • Gestion de l'espace public
  • Mobilité

Concrètement

Pour permettre une mobilité intelligente et durable, et un partage plus harmonieux de l’espace public entre tous les modes de déplacement, DéFI s’engage à…

Engagement

Fixer la période dite « de nuit » à l’aéroport de Bruxelles-National de 22h00 à 7h00, et ’interdire les décollages et les atterrissages durant cette période.

Engagement

Instaurer, concomitamment au respect des normes anti-bruit, une autorité publique, indépendante et neutre, de contrôle des nuisances sonores aériennes autour de Bruxelles-National, et favoriser les accords de coopération avec les différentes régions du pays.

Engagement

Lutter contre les nuisances aériennes rencontrées autour des aéroports de Charleroi et de Bierset.

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